Petit Poème ^^

Dans la pénombre, j’avance,
Sans un bruit, je glisse telle une ombre,
Tel le vent, tel le temps, j’avance,
Toujours, j’avance dans les Ténèbres.

Á ta recherche, je continue,
Ce soir, je te sens près de moi,
Bientôt, je te trouverai.
Á notre rencontre, je me prépare.

Dans la pénombre, j’avance,
Sans un bruit, je glisse telle une ombre,
Tel le vent, tel le temps, j’avance,
Toujours, j’avance dans les Ténèbres.

Tu es là, juste devant moi,
Je suis derrière toi, ma cible,
Mais tu ne me vois pas, moi.
Tu avances, j’avance. Je te suis.

Dans la pénombre, j’avance,
Sans un bruit, je glisse telle une ombre,
Tel le vent, tel le temps, j’avance,
Toujours, j’avance dans les Ténèbres.

Silencieusement, je m’approche.
Sans un bruit, je tire ma lame, m’approche.
Je passe, telle une écharpe de brume.
Je t’égorge, je range ma lame.
Sans aucun état d’âme.

Dans la pénombre, j’avance,
Sans un bruit, je glisse telle une ombre,
Tel le vent, tel le temps, j’avance,
Toujours, j’avance dans les Ténèbres.

Je suis un assassin, un LameNoire.
Lorsque je tue, mon esprit est ailleurs,
Mais la solitude pèse sur mon cœur,
Rougi par sang de mes victimes.

Dans la pénombre, j’avance,
Sans un bruit, je glisse telle une ombre,
Tel le vent, tel le temps, j’avance,
Toujours, j’avance dans les Ténèbres.

Mais toi, qui baigne dans ton sang,
Me comprends-tu ? Moi, ton assassin.
Tu ne me comprends certainement pas,
Mais pour moi, seule ma Liberté compte.

Poème laissé par les LameNoires sur les cadavres de leurs victimes.
Ordonër LameNoire

Ah je reconnais bien là le talent poète des LameNoire

Et un autre que je viens de composer...

Assis sur le sable, j'attend
Les bras autour de mes jambes, j'observe
Un mouvement saisi du coin de l'oeil
Et je haillis, mes lames dehors

Une fraction de seconde suffit
Pour que mon adversaire gise, éventré
Les autes chargent, inconscients du danger
Tornade de mithril. Tempête de sang s'abbattant sur l'ocre du sol

Beauté féline, sauvage, éclatante
Je danse parmi mes assaillants qui s'écrasent par terre
Insaississable, je continue mon ballet
Pour terminer seul, dans l'arène, les bras écartés, tels les ailes d'un ange

Les arènes du Désert sont ma vie
Partout, on m'acclame
Moi, le Dragon Noir Traqueur
Venu vaincre leurs armées

Ardar Ænor (qui sera peut être mon nouveau nom...)

lol pas mal non plus ^^ jvais peut être m'en faire un de poème ... bon aller je le fait en Live ...

Un cavalier qui surgit hors de la nuit ...

oups ca me rapelle quelque chose ca ... xD

bon c'est une Ode a ma gloire chanté par tout les ménestrels (enfin après mes futurs exploits ^^)

Ménestrel a écrit:: Il est là, qui entre dans la ville,
Il possède la puissance de mille,
Il est grand, il est musclé, il est beau ...
Il s'agit du seul et unique Deadshadows !

Il ne rechigne pas a la tâche,
Il s'entraîne sans relâche,
Il le fait sans aucun repos,
Il est bien le guerrier Deadshadows !

Lorsque le danger arrive,
Lorsque les ennemis arrivent,
Il est là à leur faire face,
Il ne craint aucune menaces !!

Lorsque les soldats viennent,
Lorsque qu'enfin ils les tiennent,
Il n'est plus ici, déjà en voyage,
Il n'est plus qu'un lointain mirage,

Il ce dirige vers d'autres rivages ...
Il ne possède aucune peur,
Pas même entouré de divers mages,
Pas même entouré de voleurs.

On ne sais rien de lui,
On sais juste qu'il vit,
C'est un vrai héros,
C'est Deadshadows !!!

un peu de mal pour les 4 derniers vers ^^ mais bon :p (enfin pour les 4 d'avant aussi :p)

Ouais à moi à moi... heu...

"Dans les contrées imaginaires
Terres de magie et de beauté
Surplombant de sa silhouette la mer
Se dresse le palais de la reine de Fées

Plein de mille richesses
Les murs couverts d'or
Prend garde à sa maîtresse
Car de sa beauté elle endors"

Voilà l'ode qu'entendis le jeune Nain
Qui assis en taverne revais de gloire
Et se levait chaque matin
Espérant être comblé le soir

Buldror tel était son nom
Partie en quète du palais merveilleux
Chevauchant son dragon
Il voyait déjà l'or le rendant heureux

Mais voilà que 400 passèrent
Et Buldror ne trouva pas le palais
Vivant dans la grande misère
Il se rendit compte de l'erreur qui commétait

Car si trésor il y avait
Quelqu'en soit le chemin
Jamais au grand jamais
Il ne dépasserait celui des Nains

Se fut sur son lit de mort
Que Buldor s'en souvint
Malheureux de ne pas avoir l'or
Il regreta les petits matins

Où il se levait
Parmis les Nains
Triste et seul il était
Mais il n'était pas dans le besoin

Tache étranger
De ne pas l'oublier
Que le plus beau des trésors
Est de reposer chez soit à sa mort

Petit poème retrouvé dans une vieille malle surment apris aux jeunes Nains pour les inciter à ne pas trop revasser.